vendredi 17 janvier 2020

Quand se meurt HAXO Golbey


Ils voulaient détruire... sans le vouloir, ils en on fait des oeuvres d'art...

C'est un choix de ma part d'utiliser pour certaines images un filtre (intense et froid) pour sublimer (à mes yeux*_*) certains clichés marqués par *






*







*





Effet de silhouettes chaotiques provoqué par les bris de vitres*



Que dire de tant de saccage...

Après le temps et les destructeurs, les tagueurs ont redonné couleurs à la vieille caserne...

L'art de cacher son art...
HAXO en protecteur de tags... pour un temps encore...
Cale-pneu abandonné... il ne rentrerait pas dans mon coffre de voiture!
Merci au tagueur d'avoir respecté le spahi...*__*
La grande muette... une seule bouche pour tout un régiment? ce que pensait notre tagueur...
*
Comme des fantômes traversant l'espace de ce hangar...
A quoi pense t-elle...

*
*
*
Et la fenêtre horrifiée vomit le mal-être d'une société ayant oublié le respect des vies passées

                                                                     Il y avait vie et couleur...
  






La triste réalité....
En suspension au dessus de ma tête...*
Des cuisines, la seule chose qui ne fut emportée...
Hurle tant que tu veux... ici seule la nature continue de vivre...

Comme un carnet de timbres...
Tout en haut du mur...un Spahi, emblème de la caserne
Regardez-bien, un visage dubitatif portant encore le calot à l'ancienne, un taureau façon Picasso, d'autres y verront le bouc , emblème du régiment, des oiseaux épouvantés. pressentant le chaos...*










Un peu de lumière ?







Un reste de bleu égayé par le rouge-sang des baies d'églantier...



*






Dans la brume et le froid d'un premier janvier, la place d'armes...









Par là ils entraient...



Par ici je suis sortie...*__*